Arnaud Genon, Les indices de l'oubli, Éditions de la Reine blanche, 2019. Préface de Marta Caraion, illustré (photos) par Hugues Castan

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Présentation de l'éditeur :

Les indices de l’oubli propose une réflexion sensible et délicate sur nos rapports avec les vieux albums de photos de famille. Parallèlement, l’auteur s’interroge sur le souvenir que nous gardons des êtres qui ne sont plus, ce qui le conduit à poser également la question de l’immuabilité de notre identité. Même si le point de départ de ce récit est une expérience personnelle, celle-ci résonne immédiatement chez le lecteur qui se sent happé dans le cadre de la réflexion.

Extrait de la préface de Marta Caraion :

On pense à Annie Ernaux et aux photographies qui, dans Les Années, organisent le récit et restituent le temps social et intime, images absentes que le lecteur, par procuration, découvre et souvent reconnaît, car ce sont les photos de tout le monde, ou du moins les photos d’un monde qui a la familiarité de l’album de famille, sorte d’objet universel et partagé. Arnaud Genon inscrit son projet dans ce qu’il convient peut-être de considérer désormais comme un genre : dans un monde d’images virtuelles, l’archéologie familiale, photographique, devient l’expression contemporaine de la mélancolie.

Disponible sur le site de l'éditeur : http://editionsdelareineblanche.fr/les-indices-de-l-oubli.html

Disponible en librairie à partir du 7 août.